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    Affiche de la réédition de Metropolis



    Metropolis est un film muet que Fritz Lang tourna en 1925-1926. L'histoire se déroule dans une métropole (Metropolis) futuriste dont la population se répartit en deux classes fortement marquées. L'une vit dans la Ville haute, l'autre dans la ville basse. L'une travaille, tandis que l'autre profite de ses privilèges. Il s'agit d'une oeuvre totale, film social, romanesque et d'anticipation, dont les effets spéciaux étaient à l'époque révolutionnaire.

    Cependant, ce qui est aujourd'hui considéré comme un chef-d'oeuvre fut à sa sortie un grave échec commercial, du fait de sa longuerur (2h30) mais aussi de lourdeurs du scénario. Le film ne trouva pas son public. En réaction les producteurs et diffuseurs du film décidèrent de raccourcir drastiquement le film, tandis que la version originale était détruite.

    La version visionnée par les cinéphiles jusqu'à 2010 était donc une version tronquée et mutilée, ce qui motiva de vastes campagnes pour essayer de recouvrir des versions anciennes permettant de remonter le film dans une version se rapprochant de l'original.

    Ce 'est qu'en 2008, que par le plus complet des hasards, une version très ancienne fut retrouvée dans la cinémathèque de Buenos Aires, qui permit de combler les lacunes de l'histoire, de remonter le film au plus près de la version prévue, pensée et réalisée par Fritz Lang.

    C'est cette version qui est ressortie en France en novembre 2011. A cette occasion, nous avons emmené les élèves de section européenne du lycée visiter l'exposition organisée par la Cinémathèque Française, le 7 novembre 2011, puis voir le film, le 17 novembre 2011.

    Vous trouverez ci-dessous le livret d'activité rempli par les élèves à l'occasion de la visite dans le cadre d'un travail de groupe. Le rendu de leurs recherches sera exposé lors de la journée porte ouverte du Lycée Camille Claudel en mai 2012.

    Metropolis




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    Diese Austellung findet an das Goethe-Institut in Paris statt. Wir haben es am 10. Dezember 2009 besichtigt. Diese Austellung wird im Erinnerungen des Falls der Mauer organisiert. Es handelt von privaten Fotos oder Films, die während die Periode August 1989 bis Oktober 1990 fotografiert oder gedreht werden. Das Thema dieser Image ist  das Unverständnis zwischen die Regierung und die Bevölkerung der DDR ; die friedlichen Revolutionen, die vor dem Fall der Mauer passierten ; die Flucht durch die offene ungarische oder tscheschiche Grenze nach Westen ; der Fall der Mauer ; die Familien, Freunden, Geliebten, die sich wiedersehen ; oder das neue Leben in einem vereinigten Staat. Die Austellung ist in diesen sechs Momenten geteilt. Weil es keine offiziellen Image gibt, können wir echt die Gefühle der Bevölkerung und die Stimmung an diesen Momenten empfinden.

                Diese Austellung erlaubt durch Fotos, Film oder Aussage nach zwanzig Jahren die Geschichte sich zu erinnern. Die Austellung beginnt im August 1989, als die Regierung nicht mehr einverstanden mit dem Volk war. Die SED gab einige Freiheiten, um die Stimmung zu besänftigen, aber das war nicht genug und die Unzufriedenheit ist noch größer geworden. Deshalb sind die ersten « friedlichen Revolutionen » aufgetreten. Leuten demonstrierten gewaltlos, um ihre Meinung zu äußern. Zeitgleich sind Ostdeutsche  nach Ungarn oder Teschekoslovakei gefahren, um die DDR zu fliehen, weil die Grenze diese Länder offen waren. Unter den Druck des Volks und dank des Irrtum von Günther Schwaboski ist der Mauer am 9. November 1989 gefallen. Das war ein frohes Tag ; viele waren auf der Strasse, um an den Fall der Mauer teilzunehmen. Die Berliner zerstörten selbst die Mauer. Einiges abgegrabte Teil der Mauer war eine Möglichkeit eine Fest zu machen. Die Berliner haben alles zum Erinnerung fotografiert. Das war ein Mittel, zum beweisen, dass dieser Tag echt existiert hat. Die Deutsche waren bewusst, dass was passiert wichtig für die Weltgeschichte war.

                Nach dem Fall der Mauer, die richtige Wende des Kalten Kriegs, hatten die Deutsche die Reisefreiheit. Inflogedessen waren sie echt frei. Sie können nun die Personnen wiedersehen, die sie seit lange Zeit nicht gesehen haben. Die Familie waren nicht mehr geteilt. Als der Mauer fiel, haben Ostdeutsche mit Westdeutsche befreundet. Das ist das Beginn der Wierdervereinigung des Volks. Außerdem haben die Ostdeutsche nach Westdeuschland viel gereist. Das bedeutete die Freiheit, und deswegen traffen sie sich die ehemaligen « zwei » Völker. Diese Momente waren froh und stark. Das war wichtige Momente für die Familie, zum Beispiel. So hatten sie viel fotografiert oder gedreht. Dann haben die Deutsche die Veränderungen der DDR fotografiert : als es West-Güter auf der Markt der DDR gab, oder als es Plakate die Wahl 1990 gab. Die DDR wird Schritt für Schritt ein ganzes Teil der BRD. Im Kopf der Deutsche ist die Wierdevereinigung jetzt eine Wirckigkeit. Das Datum dem 3. Oktober 1990 ist nur die offiezielle Bestätigung dieses Ereignis.

                Die Fotos sind privat ; sie drücken persönliche Gefühlen aus. Es ist besonders interessant, diese Bilder zu sehen, weil sie zeigen, was für die Deutsche an diese Periode wichtig war. Das gibt einen anderen Hinsicht auf dieser Wende der Geschichte : der Hinsicht der deutschen Bevölkerung. Das weist die echte Euphorie dieser Zeit aus. Der Teil über den Fall der Mauer ist mir besonders gefallen. Wir konnten Freude auf den Gesichten sehen, als die Leuten an der Potsdamer Platz standen, oder wie kräftig die Berliner die Mauer zerstörten.

    Es ist sehr groβzügig von den Personen, die was geschickt haben, ihre persönnliche Fotos zu verteilen. Sie verteilen auch ein Teil ihres Lebens.

    Margaux CLUSE, Terminale 3 ES

     

     

    Berlin - chute du mur

     

     


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  • Les élèves de première européenne sont allés voir le film, avec leur professeur d'allemand G. Kagane, Le ruban blanc, vainqueur de la palme d'Or à Cannes en 2009.
    Pour plus d'informations sur ce film majeur, vous avez à disposition:
    • Le guide du film pour son étude en classe

       

    • Le site officiel du film qui offre vidéos, critiques, synopsis

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  • Cette sortie pédagogique fait partie intégrante de l’enseignement dispensé en classe européenne et prépare à la deuxième partie de l’épreuve orale du baccalauréat (activités culturelles).

    Cette sortie avait comme sujet la chute du mur de Berlin – avant / après. Elle portait sur deux expositions :

    • 1ère exposition intitulée Wir waren so frei.. Momentaufnahmen 89/90  - Nous avions pris la liberté… Instantanés 1989/1990, au Goethe Institut de Paris (17 avenue d’Iéna, 75016 Paris, métro Iéna). L’exposition présente des photos et des vidéos privées, ainsi que des films d’amateurs réalisés entre mai 1989 et octobre 1990. Parallèlement, des reportages télévisés de l’époque rendront compte aussi des événements vus par la France, la Grande-Bretagne, les États-Unis et l’ex-URSS.
    • 2ème exposition intitulée Berlin 1989-2009 – L'Effacement des traces, au Musée d'Histoire contemporaine – BDIC, Hôtel des Invalides, Paris (métro Invalides). A partir de créations artistiques, l’exposition entend mettre en scène les moyens de destruction de « Berlin-capitale de la RDA » au profit d’un paysage urbain totalement reconstruit d’où émergent de façon inattendue et souvent spontanée des traces du passé. L’exposition permet de faire un point sur les transformations urbaines de Berlin, mais aussi sur la période des années 80 jusqu’à la chute du mur en RDA.
    Les élèves devaient remplir un questionnaire et rédiger un compte-rendu en allemand pour préparer au mieux la deuxième partie de l'épreuve du baccalauréat, pendant laquelle les élèves sont questionnés sur toutes les activités culturelles faites au cours de leur classe européenne.

    BDIC


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  • Les élèves de seconde de la classe européenne ont visité l'exposition Fauves et expressionnistes organisée au Musée Marmottan le 17 février 2010, accompagnés de leur professeur d'allemand Mme Fedele et de leur assistante d'allemand Melle Krüger.

    Le musée Marmottan-Monet présentait cinquante oeuvres d'artistes expressionnistes et fauves, issues des collections du musée Von der Heydt de Wuppertal. A travers ces chefs-d' oeuvre, l'exposition offrait un panorama de l'évolution de l'art moderne, de l'expressionnisme à la Nouvelle Objectivité.

    Elle mettait l'accent sur les deux principaux mouvements qui marquèrent l'avènement de l'art moderne en Allemagne avant la Première Guerre mondiale : les expressionnistes du groupe Die fondé à Dresde en 1905 - Kirchner, Heckel, Schmidt-Rottluff... - et ceux de la NKVM Blaue Reiter - Kandinsky, Jawlensky, Marc, Macke et Münter. Ainsi, la sélection s'étend de Munch, Nolde, des fauves français Dufy, Braque, Vlaminck et Van Dongen, des artistes du Brücke Kokoschka et Oppenheimer, et jusqu'aux principaux protagonistes de la Nouvelle Objectivité, Beckmann, Otto Dix et George Grosz. Cette confrontation entre les différents courants révèle des parallèles, mais aussi des différences dans les conceptions des expressionnistes allemands et des fauves français. L'exposition tient compte également des précurseurs de l'expressionnisme et de ses grandes figures indépendantes.

    " Le musée Marmottan-Monet, temple de l'impressionnisme, propose une exposition expressionniste. Coup de folie ? Pas si sûr, tant, à travers ces toiles du musée Von der Heydt, se dévoile tout un panorama de l'art moderne. Or, entre les fauves, les expressionnistes, les tenants de la Nouvelle Objectivité, les membres de Die Brücke ou ceux de Der Blaue Reiter, existe finalement un point commun : la volonté d'exprimer une nouvelle vision du monde, subjective, en réaction au développement du cinéma et de la photographie. Une vision directement héritée… des impressionnistes justement. Et de fait, Kandinsky, Braque, Müller, Beckmann déforment, biaisent, recomposent, imprègnent de leurs sentiments ou de leur spiritualité cette nouvelle nature. La couleur s'affranchit de l'objet, l'objet s'affranchit de la couleur. L'utilisation du pigment vert pourrait presque servir de fil conducteur au spectateur, tant il révèle à la fois les préoccupations des artistes (réinterprétation de la nature, confrontation des couleurs chaudes et des couleurs froides) et leurs différences fondamentales. A travers le vert vif des fauves, le vert incertain de Van Dongen qui corrompt la sensualité de son modèle, le vert urbain de Kirchner, plein d'allant, ou le vert spectral d'Otto Dix, le musée Marmottan donne à voir toute une évolution artistique et intellectuelle, qui débute avec l'engouement des avant-gardes du début du XXe siècle, et s'achève, brisée, dans un vérisme glacé, fruit âcre de la Première Guerre mondiale. Cinquante tableaux comme autant de témoignages d'un nouveau siècle en effervescence, et, surtout, une poignée de chefs-d'oeuvre magistraux, bouleversants. 'La Jeune Fille aux pivoines' de von Jawlensky, l''Autoportrait avec pentagramme' d'Otto Müller, les pièces de Kokoschka ou la fascinante 'A la beauté' d'Otto Dix sont autant de preuves renversantes d'une nouvelle peinture émancipée, pleine de verdeur."

    Critique du web culturel Evene.fr

    Fauves et expressionnistes au Musée Marmottan

    Kirchner, Femmes dans la rue, 1914 (c) Von der Heydt-Museum Wuppertal

    Rohlfs

    Rohlfs Jouvencelles, 1915 (c) Von der Heydt-Museum Wuppertal

    morgner

    Morgner, Autoportrait numero 8, 1911 (c) Von der Heydt-Museum Wuppertal

    macke

    Macke, Paysage avec trois jeunes filles, 1911 (c) Von der Heydt-Museum Wuppertal

    marc

    Marc, Renard d'un bleu noir, 1911 (c) Von der Heydt-Museum Wuppertal

    mueller

    Mueller, Autoportrait avec pentagramme, 1922 (c) Von der Heydt-Museum Wuppertal

     

    Les élèves avaient un questionnaire pour guider leur visite, questionnaire préparé par notre assistante allemande Melle Scarlette Krüger:

     

     


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